La journaliste chinoise Zhang Zhan, toujours en prison deux ans après sa condamnation pour avoir lancer l’alerte de la pandémie,

Il est important de souligner que la liberté de la presse et l’expression libre sont des droits fondamentaux qui doivent être protégés et respectés dans tous les pays. La journaliste Zhang Zhan a pris des risques pour informer sur la pandémie de Covid-19 en Chine, et il est inacceptable qu’elle soit toujours en prison deux ans après sa condamnation. Les autorités chinoises devraient la libérer immédiatement et permettre à tous les journalistes et défenseurs des droits de l’homme de travailler librement et en toute sécurité.

 

La situation de Zhang Zhan est grave et inquiétante. Elle a été arrêtée et condamnée simplement pour avoir essayé de faire connaître la vérité sur l’épidémie de Covid-19 en Chine. Cette condamnation est inacceptable et constitue une grave atteinte à la liberté d’expression et de la presse. Zhang Zhan doit être immédiatement libérée et toutes les charges retenues contre elle doivent être abandonnées. Les organisations de défense des droits de l’homme et les défenseurs de la liberté de la presse doivent continuer à faire pression pour que Zhang Zhan soit libérée et que ses droits soient respectés.

Dans cette lettre, Zhang Zhan décrit sa situation de santé comme « très précaire », indiquant avoir « du mal à respirer, à manger et à parler ». Elle ajoute avoir « perdu l’audition de son oreille gauche » et être « en permanence couverte de sueur ». Selon son avocat, Zhang Zhan est « en danger de mort ». Malgré cela, elle continue sa grève de la faim, refusant toute nourriture et tout traitement médical.

La situation de Zhang Zhan suscite l’inquiétude et la colère des organisations de défense des droits de l’homme et de la liberté de la presse, qui réclament sa libération immédiate. « Zhang Zhan est une prisonnière d’opinion, qui a été condamnée pour avoir fait son travail de journaliste et avoir mis en lumière la réalité de l’épidémie de Covid-19 à Wuhan », a déclaré Joshua Rosenzweig, directeur adjoint de l’unité en charge des affaires chinoises à Amnesty International. « Elle est détenue uniquement pour avoir exercé son droit à la liberté d’expression et doit être immédiatement libérée ».

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